JOffre Ma Femme À Un Pote (1)
Bonjour,
Je vous raconte cette histoire vraie afin de soulager ma conscience.
Tout a commencé il y a deux ans.
Nous accueillons pour la première fois pour ma femme et pour moi depuis longtemps un vieux pote à diner.
Je lavais croisé fortuitement dans le cadre du boulot et de suite reconnu, lui non.
« Loïc, ça va ? »
« Euh, excusez-moi, je ne vous remets pas »
« Jean, on était ensemble au collège X, tu te rappelles ? »
« Ah oui, Jean, je te remets maintenant, tas pas mal changé en vérité
»
Bon il est vrai quavec lâge je me suis un peu empâté
Quelques banalités, et jinvite cet incorrigible coureur de jupons à diner le week end qui suit, voilà mon « erreur
».
Elodie était contente de recevoir quelquun qui mavait connu assez jeune, il faut dire que nous nous sommes nous-mêmes connus assez jeunes (19 ans) et vite mariés.
Nous navons peut-être pas eu assez dexpériences individuelles avant de nous unir, mais cest un autre sujet
quoique.
Elo est ravissante ce soir, comme à son habitude, mais plus en mode « soirée » : LA petite robe noire qui le fait et met bien en valeur ses formes, notamment ses petits seins qui pointent à travers le tissu : en effet, elle a une plutôt petite poitrine avec des tétons très réactifs, et pour ces deux raisons elle a pris lhabitude de ne pas mettre de soutien gorge, surtout bien habillée.
Mais le cur, hors son ravissant minois, ses yeux noisette très discrètement coquins, cest son cul !
Jen ai maté des nanas, en vrai ou sur le net, ya pas, jamais vu mieux, dans le pire des cas je dirais égalité : rond, pommé, haut et tonique, que pourrait-on faire de mieux ?
Généralement nous sommes plutôt sages, et il ny a guère que moi qui connais ce jardin dEden arrondi, Elo étant plutôt « sportswear » habituellement.
Mais ce soir cest festival, entre ce magnifique boul qui attire irrémédiablement nos regards quand elle repart vers la cuisine et ses tétons pointant avec arrogance.
Loïc nen perd pas une miette même sil essaie de faire le discret, je suis ses regards à chaque mouvement de ma femme, qui elle est ce soir bien en joie.
Il faut dire quon arrose un peu, Loïc a amené du champ, quelques verres de bourgogne et digestifs par la suite, Elo est grisée et on se marre bien, dansons même quelques morceaux ensembles.
Sur quelques danses « orientales », Elo allume « involontairement » Loïc, qui se laisse aller également, un grand sourire carnassier se déployant sur son visage de baroudeur.
Il faut dire que si jai changé, lui aussi, mais en bien : il sest sculpté une carrure de sportif, est habillé très bobo-chic, la barbe de 3 jours, etc
Quand, lors de la soirée nous avons abordé le sujet de la vie de couple, il nous a confessé navoir jamais posé ses valises, mais continuer à « sentrainer » le plus régulièrement possible.
« Je te garantis que la chanceuse qui maura va avoir de quoi samuser, avec tout ce que toutes ces femmes mont appris ! »
Est-ce moi ou jai vu le regard dElo briller un peu plus lors de cette révélation ?
Il faut dire que si nous nous amusons bien au lit, notre vie sexuelle a ment pris un tour plus « académique » avec le temps, Elo en semble satisfaite, et moi aussi.
Bien sûr, comme tout le monde, on se livre parfois à certains jeux érotiques (les dés coquins, les mises en scène), mais surtout je la photographie beaucoup, fou de son corps que je suis.
Il est tard, ça y est Elo capote, lalcool aidant je sais bien quelle ne lira pas son troisième opus des 50 nuances de Grey ce soir !
Je ressers un verre à Loïc et vais la coucher.
« Je peux checker mes mails le temps que tu couches madame ? » me demande Loïc ?
« Pas de problème, réduis Itunes et fais comme chez toi ! »
Je prends le temps de coucher ma chérie, qui se fait un peu chatte et tente de me retenir auprès delle, mais bon, je suis un bon hôte, je vais donc retrouver Loïc.
Sortant du couloir qui mène à notre chambre, jai une vue sur notre Imac, sur lécran duquel, stupeur, je vois le cul dElo en gros plan !
Et dans la seconde suivante, son visage est en gros plan, langue vicieusement tirée sous ma bite et regard coquin en plein phares !
Loïc ne sest pas gêné et a fouillé dans ma bécane !
Amusé, et quelque peu excité pour ne rien cacher (cest vrai : on prend tous des photos de nos meufs, mais à qui peut-on les montrer ?), je le laisse filer un peu.
Il tourne encore une dizaine de photos, des plus artistiques aux plus cochonnes, avant que je me décide à intervenir.
Volontairement, je fais donc un peu de bruit avant de regagner le salon et y trouve Loïc en train de nous servir un nouveau Jack Daniels.
« Bonne soirée, non, Loïc ? »
« Impeccable oui, tas une petite femme délicieuse et très jolie tu sais ?
« Oui, moi je le sais, mais elle moins, elle doute souvent de son physique et de sa capacité de séduction
»
« Cest vrai ? Pourtant, si je peux me permettre, elle a certains attraits, voire même des attraits certains
»
« Je suis daccord, mais par rapport à toutes les bombasses que tu te tapes, ça na rien à voir, non ? », lui dis-je en resservant un coup.
« Javoue que jen ai eu des belles, mais la comparaison avec la tienne mest impossible, je ne lai pas vu nue ! » dit-il en éclatant de rire.
Et là , lalcool, le fantasme de montrer sa moitié, den quelque sorte la partager sans danger
« Et tu voudrais, la voir nue ? »
.
Un bref silence, Loïc reprend une gorgée : « si ça ne te gène pas, je suis preneur, après tout on est entre amis
»
Je contrôle quand même, je le crois en tous cas, la situation : ça va être amusant de lui montrer seulement les photos quil a déjà vues !
Je tourne lImac vers lui, lil brillant : « mate ! »
Je fais le tour des photos quil a déjà vues, en lui demandant son avis à chaque fois, assez échauffé par la situation : je vois distinctement une bosse se former dans son pantalon
« Elle est magnifique, et elle a lair vraiment coquine dis-moi, jaime cette manière de te regarder pendant quelle te
.
Victoire ! Le grand séducteur craque devant la femme du petit gros comptable, je suis trop fier delle !
« Non, vas-y, on est entre amis » dis-je en nous resservant.
Il sort donc un bel engin semi-bandé, une de ces matraques qui doivent faire du bien aux dames, et commence à se caresser doucement.
« Excuse moi, mais elle me fait de leffet ta gonzesse ! »
Lalcool, le fait de voir sa queue, attirante même pour un homme, je me sens perdre le contrôle de la situation : ma résolution de ne lui montrer que les photos déjà vues sefface devant lexcitation, et cest la queue à la main que je fais tourner les photos, perdant toute pudeur.
Ici on voit Elo en levrette, écartant ses deux globes majestueux (« Oh putain quel cul de folie ! »), là elle mavale entièrement (accélération de sa main sur sa bite), ici encore elle se met un gode dans le cul alors quelle est empalée sur moi (« pfiouuuu qué bonita »).
Les photos senchainent, les verres aussi, nous voilà comme deux glands à sastiquer chacun le sien en matant Elo.
« Jy crois pas, tas une chance mec, et quel cul ! »
Et là, un pas de plus vers le précipice (devrait-on boire autant, ou alors simplement ça libère ce qui est enfoui ): « et encore, tu las pas vu en vrai ! »
Je me rends compte malgré tout instantanément de ce que je viens de dire et de ce que cela ouvre comme possibles
.
« Ben je demande pas mieux ! »
« Sérieux ? », dis-je la vois un peu pâteuse.
« Carrément ! »
« Bon ok mais vite fait, et range ton machin le temps que jaille voir si elle dort bien ! »
Et oui, elle dort bien, un simple drap posé sur lobjet de tous nos désirs à lheure quil est.
Et à peine je suis arrivé et ai pu le temps de le vérifier que Loïc est déjà derrière moi.
Je massure quil a bien rentré sa grosse pine et lui donne les consignes « pas de bruit, si elle se réveille elle va flipper grave, et
.
« Ca marche, allez ! »
Et nous voilà comme deux cambrioleurs en train de nous approcher délicatement du lit sur lequel Elo dort de sa bonne cuite.
« Alors ? » lui fais-je, fier comme Artaban.
« Ben je vois pas grand-chose avec le drap » dit-il
« Tas raison
», et de faire glisser délicatement celui-ci sur lépaule dElo qui est sur le dos, laissant doucement apparaitre son sein gauche
« Whaou
»chuchote-t-il en sapprochant et en mettant involontairement un coup dans le pied du lit alors que jen étais arrivé au ventre.
Coup de pression, ma femme va me voir en train de la découvrir devant un type quelle ne connaissait pas quelques heures en arrière
Mais non, elle est bien cuite et se retourne simplement, nous offrant son cul mais layant auparavant recouvert du drap.
« Allez on lâche laffaire ! », dis-je, un fond de panique restant.
« Non, sois pas salaud, pas avant davoir vu le meilleur, tu mas dit que cétait son cul
»
Je commence à avoir comme une bouffée de chaleur, entre lalcool, lexcitation et le coup de panique.
« Attends
», dis-je en masseyant sur la chaise devant le lit
« Pas de souci, récupère un peu, je vais juste jeter un il et après on y va ».
Cest donc bien allumé que je le vois doucement tirer sur le drap, dévoilant petit à petit le dos, les reins, le début des fesses dElo, et enfin cette si belle lune, unique et objet de tous mes fantasmes.
« Putain tu mavais pas menti » dit-il en jetant un il dans ma direction.
Me voyant dans le gaz il senhardit et passe délicatement sa main sur un globe, puis lautre, et ressort son engin de chantier de sa braguette.
« gnon navéni patouch », cest la seule chose que je parviens à articuler afin de tenter de rappeler le contrat initial.
« Tinquiète pas », me dit-il manifestement moins allumé que moi.
Pourtant, défoncé comme un rat sur ma chaise de spectateur, je ne mendors pas et recommence à bander comme un âne.
Après sêtre assuré de son solide sommeil par des caresses légères, je le vois commencer à écarter les fesses de ma chérie en faisant des commentaires salaces : « putain quel cul, ça cest du boul, ferme et tendre à la fois, sur jen ai déjà vu des comme ça, mais des nanas qui mouillent aussi vite jamais ! »
Quoi ? Elo mouille ?
A nen pas douter au bruit que font maintenant ses doigts qui sagitent sur son clitoris par en dessous
Je vois le mouvement de chaloupe bien connu du cul dElo qui commence à sengager, pas de doute elle prend son pied.
« et gné sur que
» oui évidemment, difficile pour lui de répondre à une question incompréhensible, aussi se contente-t-il de me dire « regarde comme elle aime ça cette chienne ! », et toi aussi on dirait !
Cest sûr, jai sorti ma bite et je jouis sous son regard sans même me toucher pendant quil continue à caresser Elo « bon garçon ça ! » me dit-il
Aussi incroyable que ça puisse paraitre, Elo semble toujours dormir, même si elle ondule sous les doigts habiles de Loïc
Et dailleurs, changement de régime pour celui-ci : revenant vers moi il me dit « tu sais que cest une bonne petite pouliche ça, les doigts ça lui suffit pas, et je crains que ton petit machin non plus », regardant ma bite débandée en mexhibant la sienne devant les yeux.
Javoue quil a vraiment une bite de conquérant, de la voir si dure et si près de mon visage, jai comme la tentation de men rapprocher et
Ce salaud ma capté et me fais « non, pas maintenant, jai des trucs à faire dabord
»
Nu en deux secondes, je le vois sapprocher dElo par derrière, le cul de celle-ci tendu en lattente de la saillie
« Mrfrgh » dis-je.
« Tinquiète, je suis clean » répond-il, sapprochant du cul offert.
Voir cette belle bite sapprocher de la chatte dElo me réveille quelque peu, mais au lieu de reprendre le contrôle de la situation, je ressens une sourde excitation : il va la prendre devant moi, fantasme ultime, et en plus jai lexcuse de lalcool pour ne pas men vouloir
Il a repris doucement ses caresses, sa main passant maintenant sous le ventre dElo tandis que son chibre sapproche inexorablement de son objectif.
Le cul rêvé bouge de plus en plus alors que le gland de Loïc sappuie sur les lèvres dElo.
Cette dernière est en transe, et moi aussi dailleurs !
Il ny a que Loïc qui semble maître de lui.
Quelques secondes plus tard, je vois son mandrin impressionnant sintroduire centimètre après centimètre dans cette chatte qui ne connait depuis 10 ans maintenant plus que ma petite bite.
En voyant ça je jouis à nouveau : Elo respire de plus en plus fort et commence même à gémir en alternance.
Parvenu au fond de ma femme, Loïc sarrête et ne bouge plus, là où dans une telle circonstance je me serais excité à fond et aurais envoyé la purée en quelques minutes.
Et enfin commence le mouvement : pas celui de Loïc, celui dElo ! Elle vient le chercher la garce, il est en train de la rendre dingue.
« Mmmmm, oui, vas-y putain ! »dit-elle toujours en dormant (enfin je pense
)
Stoïque le Loïc : il ne bouge toujours pas et laisse ma femme sembrocher de plus en plus vite et fort sur sa belle bite.
« Mmmmmm, oui, oui, oui ! » fait-elle en gigotant de plus belle.
Et tout dun coup, lexplosion : les mains de Loïc qui caressaient distraitement le corps dElo saccrochent fermement à ses hanches, et à grand coup de reins, le voilà qui empale Elo de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Ma femme devient hystérique, saccroche aux montants du lit, visage dans loreiller elle crie à réveiller limmeuble entier malgré tout. Je ferai certainement le malin demain en faisant croire que cest moi qui lui ait fait ça, mais pour lheure je bande à nouveau comme un dingue, queue à la main comme un ado
Je crois quelle jouira 5 fois de cette manière (« ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »), avant de retomber inanimée sur les draps.
Fier de lui mais conscient que cen est assez pour elle, Loïc se retire (ça ne fait pas « pop » moi quand je me retire !) et se retourne vers moi : « elle en a assez pour ce soir, à toi maintenant : ya longtemps que tu lui as pas fait minette ? »
Et dautorité, sans que jaie fait le moindre geste pour len dissuader dailleurs, il me fourre sa bite dans la bouche : « suce, cest son jus qui est sur ma bite ! »
Je nai jamais fait ça auparavant, quelle sensation !
« On mappelle le révélateur de talents ! »ironise-t-il, « je crois que vous avez bien besoin de moi tous les deux ! « , mais ya des compéteeeeeences ! » et de se vider en longs traits épais dans ma bouche
Et moi, ben jai encore joui sans me toucher !
A suivre, si vous le voulez
.
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